Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Patati et Blablabla
1 mai 2018

Côte ouest et Papagayo (Lanzarote)

003 Papagayo

Mardi 1er mai

Aujourd’hui, nous parcourons le sud-ouest de l’île pour découvrir les points d’intérêt à ne pas manquer, ceux qui figurent dans tous les guides. On commence par les Salinas de Janubio, derniers marais salants de l’île, qui constituaient, autrefois, une activité économique majeure. Les carrés roses, blancs, bleus composent un damier géométrique et irisé.

Toujours sur la même route, une halte s’impose à Los Herbideros. On se croit au bout du monde, au cœur d’un champ de lave refroidie. Les vagues bouillonnantes se heurtent au littoral accidenté et s’engouffrent dans les grottes volcaniques. Un petit sentier serpente à travers le champ de lave.

À quelques kilomètres de là, nous allons jeter un bref coup d’œil à la Laguna Verde (ou Charco de los Clicos), une petite lagune à l’eau verte, plus salée que la Mer Morte ! Sous le soleil, sa couleur surprend, mais interdiction d’approcher. Le site est préservé grâce à un petit chemin de bois qui en reste éloigné. Très touristique.

À midi, nous nous rendons à Yaiza, un très joli village aux maisons impeccables. Avec nos pantalons et nos chaussures pleins de poussière, nous nous installons à la terrasse ombragée de la Bodega de Santiago. En entrée, nous prenons des croquetas de jambon-fromage et des croquetas de calmar à l’encre noire. Puis une poularde farcie et un chevreau rôti, au vin de Lanzarote. En dessert, un "bienmesable" au miel accompagné d’une boule de glace, et un volcan (un coulant au chocolat).

Nous terminons la journée au sud de l’île, à la plage de Papagayo. La route pour y accéder est chaotique. On tangue de tous les côtés sur le chemin plein de trous et de bosses, en rigolant, comme tous les autres conducteurs. Notre petite voiture tient le choc ! La plage est en contre-bas du parking, encaissée entre les rochers. On ne voit pas l’horizon. En remontant vers les hauteurs, la beauté de Fuerteventura à l’horizon nous cueille comme des enfants.

Publicité
Publicité
Commentaires
Patati et Blablabla
Publicité
Archives
Publicité